Orgues en Région de Bruxelles-Capitale

Orgue néoclassique sur scène (Maurice Delmotte, 1939)

Maison de la Radio

Architecture, lieu, configuration  / Orgue néoclassique sur scène (Maurice Delmotte, 1939) - Maison de la Radio
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L'INSTRUMENT
Buffet - Date de réalisation 1939
Buffet - Emplacement Occupe tout le fond de scène
Buffet - Style Tuyaux apparents sans buffet
Matériaux utilisés Placage de marquetterie, bois, zinc, cuivre étain
Description du buffet Façade de tuyaux en étain, croissant du milieu vers les extrêmes, aboutissant à deux tourelles de 7 grands tuyaux de bois (32 pieds). Derrière cet arc concave, double courbe inverse, d’abord étain-bois, moyenne, doublée à l’arrière d’une courbe plus élevée de tuyaux de bois plus foncés. Derrière le tout, les quatre alignements de jalousies horizontales des boîtes expressives. Sur les côtés, enfin, à gauche et à droite des colonnes de 32 pieds, double mouvement inverse de tuyaux de métal décroissant vers les extrémités, et de tuyaux de bois croissant.
Console - Date de réalisation 1940
Console - Style Moderne en accord avec le buffet
Console - Description Meuble aux faces externes lisses. Quatre claviers en gradin, registres à gauche et à droite.
Console - Situation Déplaçable devant l’orgue
Console - Matériaux Chêne, palissandre, ébène, ivoire
Console - Particularités Mobile
Date/Epoque de l'entretien Plus depuis de nombreuses années
Combinateur - Type et Emplacement 5 x 8 combinaisons + 10 combinaisons « américaines » aux claviers et aux pieds
Crescendo Crescendo général
Ventilateur - Description Oui
Accord Diapason 440 Hz
Tempérament  Egal
Acoustique Courte
Facteur(s) Maurice Delmotte
L'INSTRUMENT
Buffet - Style Tuyaux apparents sans buffet
Console - Style Moderne en accord avec le buffet
Facteur(s) Maurice Delmotte
HISTORIQUE DE L'INSTRUMENT
Historique La construction de cet instrument très important (il est toujours le plus important de Belgique) a été confiée à la firme Delmotte par un comité de 5 organistes : Charles Hens, Joseph Jongen, Paul de Maleingrau, Alex Paepen et Flor Peeters.
Delmotte était en concurrence avec Dresse de Namur et Stevens de Duffel. Le premier fut rapidement écarté vu son manque d'expérience dans la construction de grands instruments électriques. Après discussions sur les tailles et les matériaux des tuyaux, le choix se porta finalement sur Delmotte en raison de sa traction électrique directe, appliquée par les Américains et déclarée plus performante que la traction électro-pneumatique préconisée par Stevens. Le devis de Delmotte s'élèvait à 1.100.000 francs belges et se situait entre les deux autres candidats, Stevens étant le moins cher avec 860.100 francs belges et Dresse avec 1.501.313 francs belges.

Totalisant 111 registres et 98 jeux réels, il est doté de quatre claviers de 61 notes et d’un pédalier de 32, ainsi que d’un nombre important d’auxiliaires : accouplements et tirasses normaux et à l’octave, grave et aiguë. Pour ces derniers, les dessus sont réels, et les sommiers comportent donc une octave supplémentaire à l’aigu, soit 73 notes aux sommiers pour 61 aux claviers.
Il comporte un nombre important de mixtures et mutations, dont trois séries d’harmoniques, sur le 32, le 16 et le 8, dont une va jusqu’à la 7e (au Récit)
Son clavier de Solo (on pourrait dire de Bombarde) contrairement à d'autres instruments qui comportent une impressionnante batterie de « tuba » (puissants jeux d’anches) chers aux Willis, Harrisson et autres grands facteurs anglais, et que Cavaillé-Coll lui-même a utilisés plus d’une fois, en salle (Sheffield et le Trocadéro), ne comporte que des jeux à anches douces, de type "Douçaine". La fonction de ce clavier est plutôt celle d'un Echo qu'un Solo puissant.
Le maniement de cet imposant ensemble est grandement facilité par la présence de nombreux appels et annulateurs, complétés, c’était révolutionnaire à l’époque, de huit « combinaisons » enregistrables par clavier, soit quarante, plus dix combinaisons générales.
La façade (on ne peut guère parler de buffet) imposante, elle aussi, avec ses deux tourelles de 32 pieds, ses éventails contrastés de tuyaux d'étain, de cuivre et de bois, occupant toute la largeur du studio. Sa grande qualité esthétique est encore soulignée par l'arrière-fond classique formé par les quatre colonnes de « jalousies » horizontales, boîtes expressives du Récit et du Positif.
C’est à juste titre, semble-t-il, que le Professeur Roland a baptisé ce genre de façade : « façade Diongre ».
Cet ensemble à proprement parler monumental fut inauguré le mardi 30 avril 1940, plus d'une semaine avant la deuxième Guerre mondiale, par un concert organisé conjointement par les Emissions flamandes et les Emissions françaises, avec le concours du Grand Orchestre Symphonique de l’INR, sous la direction de Désiré Defauw.
Au programme : le 3e Concerto brandebourgeois de Bach, puis le Concerto op.4 n°4 de Haendel, interprété par Flor Peeters, qui joue ensuite ses Variations et termine sur une vieille chanson flamande « Laet ons mit herten reyne » (celle-là même dont Pierre Froidebise fera un Noël varié). Après la pause, Joseph Jongen interprète sa Symphonie concertante, op.81.

On relève entre autres, en moins de deux mois de récitals du samedi : Charles De Liever jouant Reubke, Brahms, Reger et Rheinberger ; Joseph Jongen jouant César Frank ; Jean Collot présentant Bossi, Glazounov, Beck et Andriessen : Maurice Dejauve offrant Boëly, Alkan, Boëlmann et Saint-Saëns. Alex Paepen jouant Gigout, Dallier, Roussel, Barié ; Charles Hens du Florent Schmitt, Jacques Ibert, Tournemire, Ludovic Panel, Messiaen, Duruflé, Bonnet et Dupré ; Marcel Druart présentant Raymond Moulaert, Flor Peeters, Joseph Jongen et Paul de Maleingrau.

Un programme étalé sur cinq mois devait faire entendre pas moins de trente deux concerts donnés par des belges. On imagine bien, avec regret, que ce projet fut quelque peu perturbé par la guerre, mais Maurice Delmotte avait reçu un laissez-passer officiel et s'y est rendu quelques fois. Les concerts étaient pour la plupart retransmis à la radio en mono par l'INR / NIR. Nombres d'interprètes ont reçu les bandes d'enregistrement de la radio. Le grand orgue du studio 4 a également servi pour des concerts de musique légère avec des organistes comme Albert Espagne.
Malheureusement, cette activité n’allait guère durer. La mode vint d’instruments baroques. La console même, malgré (ou à cause de) ses possibilités, en rebutait plus d’un.

Les travaux entrepris en 1960 pour corriger l’acoustique du studio n’ont vraisemblablement rien arrangé. C’est dans ces années-là qu’un responsable a décrété qu’il faudrait des millions pour restaurer l’orgue. Et on ne fit donc rien. Il semble aussi que des petits problèmes de réglages de la transmission occasionnaient quelques cornements, ce qui est gênant pour les enregistrements en radio. Par ailleurs, le diapason de l'orchestre fut haussé ce qui obligeait le facteur d'orgues à faire un travail important sur le plan de l'accord, travail jamais réalisé. A l'époque des prises de son mono, les organistes devaient renoncer aux grands ensembles de jeux pour se contenter d'une quarantaine de jeux au maximum. Enfin, l'acoustique sèche du lieu en a peut-être déçu l'un ou l'autre qui préféraient les grandes églises.
Tous ces phénomènes ont contribué à l'abandon de cet instrument colossal, outre les questions stylistiques en forte évolution à cette époque.

Cependant, jusqu’à 1970 en tout cas, l’instrument était encore, au moins occasionnellement, accordé par la Firme Delmotte elle-même.

Louis Joos, dans les années 60, a assuré la partie d’orgue des Fontaines de Rome, de Respighi, avec le Grand Symphonique. Claude-Robert Roland, à lui seul, entre 1965 et 1970, a joué sur cet instrument (et enregistré) entre autres : le Final, de Franck ; le Prélude et Fugue op. 7 n° 3, de Dupré ; la Messe de la Pentecôte, de Messiaen ; des œuvres de Maurice Guillaume, de Robert Quatrefages et de Charles Tournemine ; ses propres 4 pièces pour Grand-Orgue ; et, enfin, cette version de la Sonatine de Pierre Froidebise, utilisé par Radio-Namur pendant plus d'un quart de siècle. Dans les années 70 encore, il a assuré, avec le grand Symphonique toujours, sous la direction de René Defossez, la partie d’orgue des Fêtes carillonnées, de René Barbier. Et l’orgue avait encore été accordé par la firme Delmotte pour l’occasion.
Par la suite, avec l’abandon de Flagey pour Reyers, on a pu craindre le pire.
Le rachat des bâtiments de l’ex-INR par la sa. La Maison de la Radio d’une part, le classement du Studio 4 et du Grand-Orgue d’autre part, permettent d’être pleinement rassuré. C’est un instrument qui revient de loin.

Actuellement soigneusement démonté par la firme Thomas de Francorchamps et répertorié, toute la tuyauterie a été désamiantée ; la façade Diongre a retrouvé sa place, de même que la console (à l’exception du pédalier).
TRAVAUX
Année début 1998
Particularités Remontage prévu à l'origine en 2002 avec l'inauguration du bâtiment restauré/rénové. L'orgue a été démonté et est stocké en grande partie à Francorchamps. Ce sont principalement les éléments visibles qui ont repris leur place dans le Studio 4.
Plusieurs organistes se sont prononcés à l'époque dont Bernard Foccroule.
En 2008, ces travaux n'ont toujours pas abouti, principalement pour des raisons financières, la société anonyme "La Maison de la radio Flagey" ayant d'autres priorités dans la maintenance du bâtiment.
Type de travaux Démontage pendant le désamiantage et restauration/rénovation de la salle. Reconstruction des éléments de façade.
Nom du facteur Thomas
Lieu de l'atelier Ster-Francorchamps
DOCUMENTATION
Type Archives
Titre Archives Delmotte
Type Disque
Particularités Grand nombre d’enregistrements, dont la majeure partie est perdue
Type Article
Titre "L'orgue monumental de la Maison de l'I.N.R. à Bruxelles"
Description 24 pages dans lesquelles les auteurs rappellent l'historique de cet orgue et sa description. Ils font également des commentaires personnelles et des appréciations sur l'état et le style de l'orgue. Ils joignent des pièces d'archives (plan de face, programme d'inauguration, composition des jeux, liste des récitals prévus après l'inauguration, etc.)
Auteur Bernard Carlier et Léon Kerremans
Références Revue trimestrielle "L'Organiste", années 24, n° 93, 1992/1
Editeur E. De Vos. Rue Romainville, 25. 4520 Bas-Oha. 085
HISTORIQUE DE L'INSTRUMENT
Historique La construction de cet instrument très important (il est toujours le plus important de Belgique) a été confiée à la firme Delmotte par un comité de 5 organistes...
Travaux
Année début 1998
Nom du facteur Thomas
Lieu de l'atelier Ster-Francorchamps
SPÉCIFICATIONS TECHNIQUES DE L'INSTRUMENT
Consoles
Structure console et pupitre 
Habillage intérieur de type acajou clair avec trois faces inclinées, deux pour les registres, à gauche et à droite, et une pour les claviers eux-mêmes surmontés de diverses bascules et boutons.
Pupitre mobile fixé sur deux lattes de fer.
Surplomb de 35 mm.
Nombre de claviers 
4
Etendue des claviers 
61 notes, C - c''''
Description des touches 
Ivoire
Largeur des touches 
22 mm
Profondeur des touches 
I-II-III : 140 mm.
IV : 134 mm.
Largeur de l'octave 
164 mm
Description des feintes 
Ebène
Description des joues ou cadre 
Joues avec front arrondi en bois clair verni type acajou
Etendue du pédalier 
32 notes, C - g'
Matériaux du pédalier 
Droit et incurvé avec feintes légèrement en arc de cercle
Registres 
De part et d’autre des claviers, bascules en matière synthétique imitation ivoire avec médaillons
Accouplements 
Aux mains et aux pieds, bascules et champignons, réversibles :
I+II I+III I+IV II+III II+IV III+IV
P+I P+II P+III P+IV
Annulateur P+I du Crescendo

Octaves graves I+I II+II III+III IV+IV I+II I+III I+III II+III
Unissons muets Grand Orgue / Positif / Récit / Solo
Octaves Aigues P+III I+I II+II III+III IV+IV I+II I+III I+IV II+III II+IV
Accouplement des boîtes III & IV
Combinaisons 
Aux claviers et aux pieds, poussoirs et champignons :
10 combinaisons générales et annulateur.
8 combinaisons ajustables et un annulateur pour chaque clavier.
8 combinaisons ajustables pour la Pédale.
Accouplement de chaque combinaison de clavier avec combinaison de Pédale.
Tutti des Anches
Tutti des Mixt.
Annul. des Anches
Annul. des Mixt.
Annul. es Fonds 32 et 16
Annulateur des anches 16' du claviers
Annulateur P+I du Crescendo
Annulateur des Anches Pédale 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7 / Grand Orgue 1, 2, 3 / Positif 1, 2, 3, 4, / Récit 1, 2, 3, 4, 5, 6 / Solo 1, 2, 3
Appel des anches et mixtures I II III IV Péd
Crescendo général.
Repose-pieds 
Au banc
Commande-pieds 
Accouplements, combinaisons et annulateur.
Trois pédales à bascule pour l'expression du Positif, du Récit et du Solo.
Une pédale à bascule pour le Crescendo général.
8 combinaisons ajustables (& annulateur) à chaque clavier.
8 combinaisons ajustables de la Pédale.
Accouplement de chaque combinaison de clavier avec la combinaison de Pédale.
10 combinaisons ajustables générales (& annulateur).
EXPRESSION II III IV
CRESCENDO GENERAL
TUTTI GENERAL
Accessoires 
Cadrans de voltage.
Cadrans lumineux de contrôle d’ouverture des boîtes expressives II, III et IV.
Tableaux lumineux de contrôle des combinaisons enclenchées.
Barre d'adresse 
Plaque métallique sur la face intérieure droite de la console :
"Maurice Delmotte
Facteur d'orgues
Tournai
Maison fondée en 1812
Expositions internationales
Gand 1913 - Médaille d'Or - Bruxelles 1935 - Diplôme d'Honneur"
 
Clavier(s) et Pédalier(s)
  • Nom 
    Grand Orgue (I)
    Etendue 
    61 notes, C - c''''
    Jeux 
    Montre 16
    Bourdon 16
    Cor français 8
    Montre 8
    Flûte harm. 8
    Gambe 8
    Salicional 8
    Bourdon 8
    Prestant 4
    Flûte 4
    Octave 2
    Quinte 5 1/3
    Grosse Tierce 3 1/5
    Quinte 2 2/3
    Tierce 1 3/5
    Cornet 5 rangs
    Fourniture 4-5 rangs
    Cymbale 4 rangs
    Bombarde 16 1
    Trompette 8 2
    Clairon 4 3
    Accouplements 
    I+II
    I+III
    I+IV
    Octaves Graves I+I I+II I+II I+IV
    Unissons muets Grand Orgue
    Octaves aiguës I+I I+II I+III I+IV
    Particularités 
    Le Cornet n'a pas de tuyaux propres, mais appelle plusieurs jeux
  • Nom 
    Positif (expressif) (II)
    Etendue 
    61 notes, C - c''''
    Jeux 
    Quintaton 16
    Diapason 8
    Flûte 8
    Cor de chamois 8
    Unda Maris 8
    Bourdon 8
    Quintaton 8
    Octave 4
    Flûte 4
    Flûte champêtre 2
    Nasard 2 2/3
    Tierce 1 3/5
    Larigot 1 1/3
    Fourniture 3 rangs
    Cymbale 3 rangs
    Chromhorn 8' 1
    Basson-Hautbois 8 2
    Trompette 8 3
    Régale 4 4
    Accouplements 
    II+III
    II+IV
    Octaves graves II+II II+III
    Unissons muets Positif
    Octaves aiguës II+II II+III II+IV
    Trémolo 
    Trémolo
  • Nom 
    Récit (expressif) (III)
    Etendue 
    61 notes, C - c''''
    Jeux 
    Dulciana 16
    Diapason 8
    Flûte traversière 8
    Cor de nuit 8
    Dulciana 8
    Gambe 8
    Voix céleste 8
    Octave 4
    Flûte 4
    Fugara 4
    Flûte 2
    Piccolo 1
    Quinte 2 2/3
    Tierce 1 3/5
    Larigot 1 1/3
    Septième 1 1/7
    Fourniture 2-5 rangs
    Cornet 3-5 rangs
    Carillon
    Petite Bombarde 16 1
    Trompette harmonique 8 2
    Clairon harmonique 4 3
    Musette 8 4
    Clarinette 8 5
    Voix humaine 8 6
    Accouplements 
    III+IV
    Octaves graves III+III
    Unissons muets Récit
    Octaves aiguës III+III
    Trémolo 
    Trémolo
    Particularités 
    Le Carillon n'a pas de tuyaux propres, mais appelle plusieurs jeux
  • Nom 
    Solo (expressif) (IV)
    Etendue 
    61 notes, C - c''''
    Jeux 
    Bourdon 16
    Octave 8
    Grosse Flûte 8
    Quintaton 8
    Salicional 8
    Violoncelle 8
    Flûte 4
    Octave 4
    Quinte 2 2/3
    Octavin 2
    Fourniture 5 rangs
    Cornet 8 rangs
    Tuba magna 16 1
    Tuba myrabilis 8 2
    Tuba clairon 4 3
    Accouplements 
    Octaves aiguës IV+IV
    Octaves graves IV+IV
  • Nom 
    Pédale
    Etendue 
    32 notes, C - g'
    Jeux 
    Principal 32
    Sousbasse 32
    Flûte 16
    Bourdon 16
    Flûte ouverte 8
    Bourdon doux 8
    Prestant 4
    Flûte 4
    Quinte 10 2/3
    Tierce 6 2/5
    Quinte 5 1/3
    Quinte 5 2/3
    Grosse Fourniture 6 rangs
    Contre Bombarde 32 1
    Bombarde 16 2
    Trompette 8 4
    Clairon 4 6
    Zink 2 7
    Registres empruntés aux claviers :
    Principal 16
    Dulciana 16
    Bourdon doux 16
    Octave basse 8
    Violoncelle 8
    Bourdon d’écho 8
    Dulciana 8
    Octave 4
    Flûte douce 4
    Petite Flûte 2
    Fourniture 2-5 rangs
    Basson Bombarde 16 3
    Chromhorn 8 5
    Accouplements 
    P+I
    P+II
    P+III
    P+IV
    Octaves aiguës P+III
 
Transmissions
  • Nom 
    I, II, III, IV, Pédale
    Notes 
    Electrique
    Touches 
    Axées en queue
    Tracé et matériaux mécanique 
    Electro à clapet pour chaque tuyau
    Description des registres 
    Registres à bascules à commande électrique
    Boîte expressive 
    Electro-pneumatiques
 
Sommiers
  • Type 
    (Orgue démonté)
 
Tuyauteries
  • Particularités 
    Orgue démonté
 
Alimentation
  • Réservoir ou soufflet auxiliaire 
    Soufflets régulateurs
    Description 
    14 soufflets régulateurs (selon devis)
 
Trémolos
  • Nom 
    Récit expressif (III)
    Type 
    Trémolo
  • Nom 
    Positif expressif (II)
    Type 
    Trémolo
 
SPÉCIFICATIONS TECHNIQUES DE L'INSTRUMENT
Console Clavier(s) et Pédalier(s) : 5
Clavier(s) et Pédalier(s) Grand Orgue (I), Positif (expressif) (II), Récit (expressif) (III), Solo (expressif) (IV), Pédale
Transmissions
I, II, III, IV, Pédale Electrique
L'édifice
Maison de la Radio

Maison de la Radio

Adresse : Place Flagey, 18
1050 Ixelles
Style architectural : International
Construction : 1937
Siècle de construction : XXe
Style architectural : International Type : Bâtiment classé par arrêté du 28/04/1994